Julie, IDE et dessinatrice : s’autoriser à explorer une passion

Le parcours de Julie change de ce que tu as l’habitude de lire par ici.

Elle est infirmière et tu vas le lire, elle s’est découvert une passion qu’elle a pu faire grandir avec l’aide de Charlotte K et de sa coach Héloïse pendant le bilan de compétence.

Son témoignage prouve qu’il faut explorer et oser se donner les moyens de faire grandir des projets nouveaux.

Bonne lecture 🙂

Peux-tu te présenter et présenter ton parcours ? 

« Je m’appelle Julie, j’ai 43 ans. 

J’ai tout d’abord travaillé en tant qu’aide-soignante durant plusieurs années.

Devenir infirmière était une évidence. Après mes 3 ans d’étude, j’ai intégré le service de soins intensifs greffe de moelle. J’y suis restée presque 10 années.

J’ai adoré travailler dans ce service mais durant les derniers mois, je ne me retrouvais plus dans ce métier.

Alors j’ai posé une dispo. »

Dans quel état d’esprit étais-tu avant le bilan Charlotte K ?

« J’étais dans le questionnement, je savais ce que je ne voulais plus mais pour aller vers quoi ?

J’étais très ouverte à tout, j’avais hâte de commencer le bilan. »

Comment as-tu découvert Charlotte K ?

« J’ai découvert Charlotte K par le biais des réseaux sociaux. Je ne me suis pas inscrite de suite, à plusieurs reprises je regardais les vidéos de Charlotte.

Et je me suis dit que je n’avais rien à perdre et tout à gagner. »

Que t’a apporté le bilan ?

« J’ai eu la chance d’avoir Héloïse en tant que coach. Elle se donne à 100%

Ce n’est pas si simple que ça que d’essayer de faire tomber nos mécanismes de défense.

Au début nous restons dans nos peurs, nos doutes, nos questionnements mais séances après séances Héloïse a réussi à me donner confiance en moi. »

« Et cela m’a permis d’oser faire ce que j’aime, le dessin. »

Quelle est la passion qui t’anime aujourd’hui ?

« J’ai découvert un peu par hasard le dessin.

C’est en scrollant sur Instagram que je suis tombée sur des vidéos d’artistes aquarellistes. J’ai tout de suite adoré. L’aquarelle a été ma première découverte.

J’ai commencé par dessiner des fleurs, mais l’amour des animaux m’a rattrapé. 

J’étais tombée dans une boulimie de dessin, c’est devenu une passion.

Et de fil en aiguille, j’ai utilisé le pastel sec puis, grande révélation avec le graphite.

Dessiner des portraits d’animaux et surtout les regards est devenu mon passe temps favori. »

Comment cette passion a-t-elle évolué avec le temps ? 

« Le bilan de compétence s’est fait quelques semaines après cette merveilleuse découverte.

Je ne pouvais pas laisser cette passion de côté et voulais l’intégrer totalement dans ma vie. 

J’ai commencé par créer ma page Instagram puis à vendre quelques portraits d’animaux de compagnie faits sur demande.

Et il y a quelques semaines, j’ai pu faire ma première exposition avec vernissage.

Et comme les bonnes nouvelles ne s’arrêtent pas en bon chemin, je prépare un salon d’exposition d’art qui se fera à Paris.

Pour l’instant, je n’en vis pas du tout. »

Quelle place a cette passion dans ton quotidien ?

« J’ai dû prendre un poste de secrétaire dans un cabinet dentaire pour avoir un revenu et pouvoir faire ce que j’aime à côté : dessiner.

Entre dessiner (je ne compte pas les heures), mettre du contenu sur ma page Instagram, les préparatifs des expos et salons, ça demande de l’organisation et du temps.

Je dépose ma fille à l’école et je me mets à dessiner jusqu’à ce que j’aille la récupérer.

Je ne vois pas le temps passer. »

Quels sont tes rêves pour la suite ?

« Mon rêve se réalise déjà !

La réalité dépasse mon rêve, j’ai commencé le dessin sans jamais y avoir touché depuis environ un an et demi.

Dans moins d’un mois, je vais faire un salon d’art en plein Paris dans le marais, c’est juste incroyable !

Je sors totalement de ma zone de confort. Au-delà de dessiner, je repousse mes limites en utilisant de nouvelles techniques de dessins (toujours en regardant des vidéos sur Insta).

Je crée mes affiches pour mes expos, je viens de finir mon nouvel album regroupant mes principaux dessins…

Le petit truc en plus que j’adorerais, c’est avoir mon atelier. »

Tu as donc suivi le bilan Charlotte K, que dirais-tu à une infirmière qui hésite ?

« Hésiter est tout à fait normal, j’ai moi-même hésité.

Après, ce n’est que du bonus.

Il faut accepter de tout mettre à plat, ne pas se mentir, et aller chercher au plus profond de soi ce qui nous anime.

Il ne faut pas avoir peur de sortir de sa zone de confort.

Les coachs sont là pour nous accompagner, à notre rythme et dans la bienveillance.

Se lancer dans ce bilan de compétence est une vraie aventure personnelle. »

Un grand merci Julie pour ton témoignage et félicitation pour ce parcours et ce talent incroyable !

Je t’invite à aller découvrir et suivre le travail de Julie sur Instagram @julie.philip_art

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