Les chemins d’évolution des infirmières demandent des étapes, un pas après l’autre, pour trouver le parcours qui leur correspond le mieux. C’est le cas de Mathilde, infirmière devenue aussi photographe.
Mathilde livre ici un témoignage touchant, un cheminement en plusieurs temps vers le choix de ses deux métiers. Elle est aujourd’hui slasheuse, l’accompagnement lui a permis de se révéler, de découvrir qu’on pouvait faire plusieurs choses à la fois pour trouver son équilibre.
Mathilde, un immense merci pour ce témoignage qui résonnera, j’en suis sûre, chez beaucoup d’entre nous.
Peux-tu te présenter et présenter ton parcours ?
“Je m’appelle Mathilde, j’ai 27 ans et je suis infirmière depuis 2017. J’ai été diplômée à mes 21 ans après un baccalauréat ST2S que j’ai obtenu en 2014.
Être infirmière a toujours été une évidence pour moi qui suis quelqu’un au service des autres, un peu trop altruiste d’ailleurs. J’ai toujours eu pour vocation d’aider, de soigner, de communiquer et le métier d’infirmière regroupe tellement de valeurs que j’incarne.
J’ai commencé par travailler dans un service de médecine gériatrique dans un hôpital public.
J’ai vraiment adoré ce service ! L’équipe était géniale, les pathologies rencontrées et le travail me plaisaient vraiment. Le seul hic, c’étaient les conditions de rémunération ainsi que les contrats.
Je signais des CDD et des avenants tous les mois ou tous les trois mois. Ce n’était pas du tout fixe et stable pour créer une vie de famille ni même se projeter dans la vie.
Le salaire était vraiment déplorable et je n’avais aucun avantage.
Si bien que je ne pouvais faire aucun crédit, même le plus bas, la banque me refusait tout.”
Vers une activité libérale
“Au bout de presque deux ans, une amie m’a dit qu’il recherchait une infirmière dans le cabinet libéral dans lequel elle travaillait depuis peu.
Ni une ni deux, je me suis lancée. Je n’avais jamais fait de libéral, ni même en stage ni ailleurs et ce n’était pas un monde qui m’attirait à la base.
Je me suis dit « Oh et puis aller qui ne tente rien n’a rien, de toute façon, j’ai presque deux ans de diplôme, il faut bien que je découvre autre chose »
Donc le 01 mai 2019, je suis arrivée en tant qu’infirmière libérale remplaçante dans ce cabinet.
Je suis passée rapidement collaboratrice. Nous étions 5 infirmières pour une moyenne de 3 tournées par jour en horaire de coupure.
Ça me plaisait vraiment. Je mettais beaucoup de cœur à l’ouvrage, aussi bien dans les soins techniques, dans le relationnel, que dans la paperasse ou dans la logistique.
Pour que le cabinet avance et que la patientèle évolue et se fidélise, je faisais beaucoup de choses. »
Je ne m’en rendais pas encore compte à ce moment-là, mais je m’épuisais énormément.
« J’avais toujours dit « Moi ça ne me dérange pas de travailler, il faut, c’est normal.” À une collègue :” tu as besoin d’un jour de repos, ok, je te remplace » J’étais toujours là pour dire oui. Je prenais le prétexte que j’étais jeune et que je n’avais pas d’enfant.
Sauf que ce n’est pas parce qu’on est jeune et qu’on n’a pas d’enfant qu’on doit tout céder, dans ce métier-là ou dans un autre.
J’ai commencé à en avoir marre de dire oui tout le temps et à tout le monde.
Marre et fatiguée de devoir traîner mon téléphone partout, même en repos pour répondre aux messages des collègues qui travaillent. À chaque question, il fallait répondre présent, les repos se transformaient en journée de boulot à travers les conversations avec les collègues, les papiers, les appels au médecin, la facturation, etc.
Les repas de famille étaient interrompus par les appels pour les transmissions et l’organisation de la journée du lendemain. C’était devenu ingérable pour moi, mais surtout, ma famille commençait à le ressentir et à me le reprocher.
J’ai tenu bon. Je me disais “C’est ça le travail d’une infirmière libérale, c’est comme ça l’indépendance, il faut être 100% disponible”.
Quel a été le déclencheur ?
“J’ai essayé de mettre des limites, jusqu’à ce fameux moment où avec mon conjoint, nous sommes rentrés dans le parcours de procréation médicalement assistée, connu sous le nom de PMA.
Cela faisait plusieurs mois que l’on essayait d’avoir un bébé, sans que rien n’y fasse.
Nous avons commencé les protocoles, les injections, les rendez-vous, les prises de sang, les échographies, les traitements, mais surtout tous les effets secondaires que cela engendre : stress, fatigue, irritabilité, nervosité, dispute de couple etc
Ajoutez à cela un travail qui m’épuisait et qui ne me faisait plus vibrer.
Je suis rentrée dans ce que beaucoup de confrères/consœurs connaissent et j’ai nommé : Le Burn Out.
Ça m’est tombé dessus, je me suis demandée ce qui m’arrivait, pourquoi ça n’allait pas, qu’est-ce qui clochait chez moi, est-ce que c’était moi qui avais un problème ? Qu’est-ce que j’avais fait pour en arriver là ? Pourquoi je n’avais plus goût à rien ? Plus envie d’aller travailler ?
Tant de questions dans ma tête. Mais surtout beaucoup de négatif.
Je m’étais fait une promesse en commençant ce travail. Celle de ne pas aller travailler en me forçant, si ça ne me convenait plus et que ce n’était plus en accord avec moi-même, je devais partir. Les patients n’ont pas à pâtir de notre état d’esprit. C’est ma vision des choses.
Et puis, avec mes collègues, c’était devenu compliqué à gérer, car il fallait adapter le planning en fonction de mes absences imprévues pour assurer mes RDV de PMA, mes échographies, mes inséminations, mes FIVS.
J’essayais au mieux de prévoir les dates de mes absences pour mes rendez-vous. »
Que s’est-il passé ensuite ?
« Malheureusement, le corps n’est pas une science exacte et la gynécologie a aussi ses propres règles.
Ce qui fait qu’un jour, je devais être absente un samedi pour faire une insémination et j’étais en repos. Ça tombait très bien !
Sauf qu’au moment du contrôle échographique, l’ovule n’était pas prêt. L’insémination a donc été décalée au lundi, jour où je travaillais. J’ai dû me faire remplacer et j’ai senti qu’il commençait à y avoir des tensions vis-à-vis de cela.
Ça a été tellement dur à gérer psychologiquement, je m’en voulais pour mes collègues, mais en même temps, j’avais envie de tout envoyer en l’air et de dire « c’est ma vie, mes choix, mes projets ! »
Finalement, au bout de plusieurs semaines à jongler entre plusieurs sentiments, j’ai fini par démissionner et quitter ce cabinet qui m’avait vu grandir et devenir une infirmière libérale.
J’ai fait le deuil de mon équipe, des patients et de ma routine après 3 ans et demi dans ce cabinet.
Prise un peu au dépourvu, j’ai testé plusieurs autres cabinets jusqu’à en trouver un qui me proposait plusieurs jours par mois.
J’avais prévenu la titulaire que j’étais en protocole PMA et que j’allais devoir avoir des absences de dernières minutes.
Au début, c’était pareil, tout roulait, puis ça a fini par dérailler comme précédemment. J’ai donc démissionné de nouveau. Après 4 ans de libéral.”
À quel moment as-tu découvert Charlotte K ?
“J’ai fini par lâcher les armes.
Entre deux, j’ai fait une hyperstimulation ovarienne. Et j’ai dit STOP ça suffit, il faut que je revienne à l’essentiel.
C’est à ce moment que j’ai croisé le chemin de Charlotte K. Car je ne savais plus ce que je devais faire. J’étais entre deux mondes, continuer de faire infirmière ou arrêter complètement ?
Arrêter juste le libéral et reprendre en hôpital ?
J’étais vraiment perdue.
Du coup, lorsque j’ai commencé mon accompagnement, j’étais décidée à arrêter d’être infirmière.
J’étais bien consciente de ce que cela impliquait et j’étais prête à dire au revoir à ma blouse blanche.
Puis finalement, en parallèle de ma formation et de mes visios avec Héloïse (qui était, soit dit au passage, une coach formidable) j’ai postulé dans un hôpital public en santé mentale, à tout juste 1 km de chez moi, en campagne.
Parce qu’évidemment, je ne touchais pas le chômage et je n’avais pas de revenu qui me permettait de vivre ma vie. J’étais donc “obligée” de reprendre une activité et j’ai choisi de faire une cessation de mon activité libérale. J’avais trop de souvenirs douloureux et je voulais repartir de zéro. Je voulais avoir un vrai cadre au travail et une vraie hiérarchie afin de pouvoir être en règle avec mon parcours PMA.
C’était une grande décision, car dans ma région les salaires des hôpitaux ne sont pas très élevés et je vivais depuis plusieurs années avec un salaire confortable et un rythme de vie très correct.
Mes charges, mon loyer, ma routine, mes projets et ma vie de couple allaient pâtir de mes choix. »
Mais j’avais ce besoin vital de revenir à l’essentiel, de me retrouver avant tout.
« Le simple fait d’avoir des horaires du matin, d’après midi et de nuit me réjouissait, car cela voulait dire que mon travail était vraiment encadré et mes heures comptabilisées.
Je voulais, une fois ma blouse retirée dans le vestiaire, ne plus être au travail et faire la part des choses entre ma vie professionnelle et ma vie personnelle. Chose que je n’avais pas réussi à mettre en pratique en libéral, car il n’y avait aucune barrière.
De ce fait, arrivée fin avril dans mon nouveau service, dans une maison d’accueil spécialisée, je me suis sentie tellement bien. Si sereine.
C’était fou comme sensation. Il m’a fallu une semaine pour changer complètement et être transformée. Sourire de nouveau à l’envie de travailler, me lever le matin et être heureuse de me préparer. C’était vraiment une libération. J’avais peur de me mettre les chaînes et les barrières en retournant en structure et en arrêtant l’indépendance, mais c’était tout le contraire. Je me sentais plus libre que jamais !
Les conditions sont géniales, le salaire est top, ma PMA est acceptée et surtout, elle est réglementée ! Tout ça a contribué au fait que je me suis sentie de nouveau en accord avec moi-même. Une blouse blanche sur les épaules.”
Comment as-tu trouvé ta seconde voie ?
“Héloïse a donc continué mon accompagnement d’une main de maître, elle a accepté cette nouvelle aventure dans ma vie, sans jugement aucun !
Nous avons continué à chercher ensemble ce qui me faisait vibrer en dehors du métier d’infirmière.
Et à force d’introspection, de questionnaires et tout ce que le programme implique, nous en sommes arrivées à la conclusion que j’étais une personne très créative.
Elle avait tellement raison. Héloïse avait pointé du doigt ce qui me représentait depuis toujours. C’était sous mon nez depuis tout ce temps et je n’en avais pas pris conscience.
Je n’ai pas pris conscience que cela pouvait me générer du plaisir, un travail et un revenu. »
De la créativité est née la photographie.
« Car effectivement, depuis toujours, je suis dans les photos. J’ai toujours été le reporter photo de la famille. Celle qui prend tout le monde en photo à chaque anniversaire, chaque baptême, chaque événement quoi qu’il soit.
J’ai d’ailleurs chez moi tout un panel d’albums photos. J’en fais pour moi, mais j’en offre également à mes proches à chaque occasion. C’est un réel bonheur de capturer les instants et les émotions à travers une image. C’est gravé dans le papier et rien ne pourra l’effacer.
Je suis passionné par les sentiments que l’on peut ressentir à travers une photo et je n’avais jamais pensé à en faire un métier, mon métier.
De là, avec Héloïse, nous avons travaillé sur la potentielle éventualité que je devienne photographe à côté de mon métier d’infirmière.
Nous avons évoqué le slashing et d’autres possibilités.
Au début, j’avais vraiment très peur. Peur de ce nouveau départ. Je me suis dit à un moment « Mais pourquoi j’irai m’embêter à faire photographe alors que je suis si bien dans mon métier d’infirmière actuellement ? »
Puis j’ai réalisé que c’était des blocages que je me mettais pour ne pas accéder à ce rêve, à cette possibilité de réussir.
Surtout, j’avais peur d’échouer et de me ridiculiser.
Peur du regard des autres. Qu’on se dise « Ça y est, elle a pété les plombs, elle se prend pour une photographe »
Comment as-tu commencé ton activité de photographe ?
“Et finalement, mon anniversaire est arrivé peu de temps après avoir fait germer cette idée et j’ai décidé de demander de l’argent à mes proches afin d’investir dans un appareil photo professionnel.
Ni une ni deux en deux semaines, j’avais mon appareil photo.
J’ai commencé les Shooting à droite à gauche pour des proches dans le but de tester et de me faire la main. Et, J’AI ADORÉ !!
De là, j’ai investi dans un logiciel de retouches photos. J’ai regardé plusieurs vidéos, plusieurs tutos, je me suis abonnée à plusieurs comptes de photographes professionnels, amateurs et passionnés et j’ai appris tellement en peu de temps.
J’ai adhéré à une formation en ligne afin de me former davantage et de là, j’ai commencé à vraiment prendre de plus en plus de plaisir, mais surtout, j’ai réalisé que j’avais vraiment franchi un cap.
Héloïse m’a mis au défi d’ouvrir une page Instagram avant notre prochaine visio en juillet. Et je l’ai fait ! J’étais tétanisée à l’idée de faire ça lorsqu’elle m’en a parlé, mais j’ai écouté la petite voix en moi qui me disait « qui ne tente rien n’a rien » et j’ai foncé !
J’ai ouvert ma page Instagram @mathi_lde.photographie où j’expose les photos de mes shooting mais aussi où je raconte mes journées, mes doutes, mes peurs et où j’interagis avec mes abonnés.
Je n’en ai que très peu, mais c’est le début, j’apprends encore, je me forme aussi bien à la photo qu’à la logistique que tout cela implique : la communication, le marketing, la mise en page.
Mon conjoint étant comptable, c’est un super élément. Il m’a aidée à créer ma micro-entreprise et me conseille chaque jour niveau financement.
Pas à pas, je me fais une place dans ce nouveau monde.”
Comment ont réagi tes proches ?
“Au début, pour certains de mes proches, ça a été compliqué à comprendre que je faisais une formation sur la reconversion des infirmières.
Étant l’aînée de la famille, j’ai toujours été considérée comme celle qui avait son métier tout tracé. Diplômée infirmière à 21 ans, j’avais tout réussi, je n’avais plus à me soucier de faire des études ou autre.
Mais surtout, j’étais fière d’être cette personne, fière d’avoir accompli tant de choses en si peu d’années.
Fière que mes parents disent que je suis une infirmière géniale.
J’avais si peur de les décevoir.
Mais finalement, après en avoir longuement discuté avec eux, je me suis rendu compte que ce qui leur importait le plus, c’était mon bonheur et ma stabilité, que je sois infirmière ou non.
Je comprends aussi qu’en tant que parents, c’est légitime de s’inquiéter pour l’avenir professionnel de ses enfants.
Finalement, comme j’ai commencé un nouveau poste d’infirmière en hôpital psychiatrique, je n’ai pas eu à faire de reconversion. Cependant, le fait de voir que j’exerce une « double » activité ravit mes proches. Ils voient que je suis épanouie et heureuse dans ce que je fais. Et c’est ce qui compte aussi pour moi.”
Comment organises-tu tes deux activités ?
“Concernant mon activité à ce jour, je suis fière d’être infirmière en psychiatrie avec des horaires du matin, d’après-midi, de nuits et un week-end sur deux. Et en parallèle, d’être photographe.
Je réalise des shooting de femmes enceintes, de couple, de famille, d’enfants et aussi d’événements (baptême, mariage, anniversaire, etc).
Je m’organise selon mon temps de repos ou après ma journée de travail et ça roule plutôt bien pour le moment.
À savoir que dans la photo, il y a les shooting, mais il a aussi tous les à côtés (la retouche, la logistique, la communication, la pub, etc).”
Quelles qualités d’infirmière mets-tu en avant dans ton métier de photographe ?
“En tant qu’infirmière et grande bavarde, je mets à profit tout mon savoir être et mon savoir-faire en termes de communication.
J’ai toujours adoré le relationnel et avec la photographie, je suis servie. Je rencontre un tas de personnes, on discute, on échange, mais surtout, on passe un bon moment !
Voir les sourires derrière l’objectif, c’est tellement agréable pour moi. J’ai toujours été quelqu’un de très solaire. Aujourd’hui les personnes qui viennent en shooting sont toutes très heureuses d’être là, c’est un choix pour elles et c’est si agréable ! Le bonheur et l’amour à travers l’écran m’animent à chaque prise de vue.
Dans le soin, c’est différent, et de ce fait, j’ai aujourd’hui un parfait équilibre entre mon travail et ma passion.”
Quels sont tes projets, tes rêves ?
“Bien évidemment, je rêve d’être une photographe connue et renommée. À long terme, j’aimerais ouvrir mon propre studio, couvrir des tas d’événements et vivre de ce métier.
Pour le moment, je vis au jour le jour et j’apprends à m’écouter.”
Comment gères-tu les aspects financiers ?
“Concernant l’aspect financier, j’ai dû créer des tarifs pour mes séances, car j’ai investi dans du matériel, de la déco, un logiciel et surtout, je passe du temps et je donne de ma personne.
Aujourd’hui, l’argent que je reçois ne me permet pas de me dégager un salaire ni même un bénéfice parce que je dois avant toute chose rentabiliser ces investissements.
J’ai d’ailleurs longtemps eu des interrogations sur ma légitimité à faire ça.
Et j’ai encore quelques fois le syndrome de l’imposteur.
Je me dis “À quel moment, moi, je peux me permettre de demander aux gens de l’argent, car je les prends en photo alors que je n’ai aucune formation ni aucun diplôme de photographe ?”
Bien sûr, on a travaillé sur ça avec Héloïse qui a été formidable !
Du coup, à ce jour, je fais payer mes shooting photo et j’apprends à trouver cela normal et honorable.
Avec mon salaire d’infirmière qui tombe chaque mois, je mets de côté un budget pour cette activité.”
Quels conseils donnerais-tu à une infirmière qui veut évoluer ou se reconvertir ?
“Ces épreuves m’ont appris que si votre voix intérieure vous dit d’aller quelque part, alors ne cherchez pas à la faire taire, ÉCOUTEZ-LA !
Et au pire, même si vous échouez, qui pourra vous reprocher d’avoir essayé ? D’avoir tenté d’atteindre vos rêves, vos objectifs ?
Soyez vous-même, osez et vivez pleinement !
Sachez aussi que tout problème à sa solution et que Charlotte K a une équipe de coach qui sont prêts à se relever les manches pour vous aider à vous surpasser.
Je ne pense pas qu’une reconversion professionnelle soit difficile en soit, je pense que c’est l’idée que l’on s’en fait. Lorsqu’on est bien entourée et bien accompagnée, il suffit de faire un pas après l’autre et surtout de se faire confiance.
Aujourd’hui, grâce à mon accompagnement, je peux dire que je suis une nouvelle personne, tant dans le domaine professionnel que personnel.
Quand je suis arrivé dans l’aventure, j’étais à côté de mes pompes, je ne savais plus où je devais aller et aujourd’hui, en plus d’avoir trouvé chaussures à mon pied, je sais où je dois aller, où je vais, mais surtout, je sais qui je suis et qui j’ai envie d’être !
Je l’ai fait, pourquoi pas vous ?
Je suis Mathilde, je suis infirmière et photographe. «
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